Chief Happiness Officer (CHO). Ce poste, apparu dans les start-up de la Silicon Valley il y a 15 ans, a fait couler beaucoup d’encre en arrivant de notre côté de l’Atlantique. Souvent caricaturé façon « gentil organisateur », le CHO dispose en réalité d’un rôle aux multiples facettes. Phare dans la foultitude d’informations et de services mis à disposition, lien entre les équipes, les managers et les dirigeants et pouls en temps réel du climat social, le métier de Chief Happiness Officer s’apparente à une super boîte à outils du bien-être en entreprise.
Au point de pouvoir être remplacé par une application tout-en-un ?
Intranet pour les dernières actualités, application gym pour les horaires, site dédié au signalement des incidents, chatbot de support informatique, etc. Pour de plus en plus de salariés, il est difficile de trouver la bonne information au bon moment. Associé au processus d'onboarding et garant de l'expérience collaborateur, le CHO joue souvent le rôle de " contrôleur aérien ". Il est en contact permanent avec les équipes et les oriente quotidiennement vers le bon service. Une fonction essentielle mais qui peut être facilitée, voire totalement assurée, par une application.
Ainsi, de plus en plus de lieux de travail numériques jouent le rôle de porte d'entrée vers tous les outils et actualités de l'entreprise. L'information, la communication et les services y sont regroupés pour plus de lisibilité et de visibilité. Disponibles sur les smartphones des salariés, ces applications "tout-en-un" améliorent la productivité et la diffusion des messages de l'entreprise.
La mission la plus connue du Chief Happiness Officer est de créer de la convivialité entre les collaborateurs de l’entreprise. De l’onboarding au pot de départ, en passant par le séminaire annuel ou le repas de fin d ‘année, le CHO est là pour multiplier les occasions d’échanges et de rencontres. Dans ce travail de “community manager”, il a besoin d’un outil efficace pour gérer les événements au sein de l’entreprise mais aussi communiquer directement avec un ou plusieurs salariés. Des applications “all-in-one” comme Witco sont ainsi de parfaits compagnons pour le CHO. Il peut :
79 % des cadres pensent que le Chief Happiness Officer a un impact sur la productivité des salariés. Baromètre Lavazza x Ifop 2019
Il est souvent la charge du CHO de mettre en place les conditions optimales pour que chacun ait plaisir à venir travailler. Et pour savoir si ses actions sont efficaces, il doit veiller et rester à l’écoute des besoins. Au-delà des échanges individuels, le Chief Happiness Officer peut suivre le bien-être dans son entreprise grâce à des questionnaires anonymes régulièrement partagés aux collaborateurs. A la façon des sondages que l’on retrouve sur les médias sociaux, ces questions permettent de mesurer l’engagement et son évolution dans le temps. Le CHO a pour mission d’analyser ces résultats et de mettre en place les actions correctives efficaces. Les applications à destination des collaborateurs lui permettent ainsi de centraliser l’envoi de ces questionnaires et de rester à l’écoute des besoins des collaborateurs.
Le Chief Happiness Officer ne peut être remplacé par une application. En revanche, il a besoin, au quotidien, d'un outil efficace pour l'accompagner dans la diversité de ses missions. Il a besoin d'un outil unique pour diffuser l'information, communiquer et être à l'écoute des besoins des salariés. Ainsi équipé, le CHO pourra favoriser la cohésion et créer une ambiance de travail positive pour chacun et pour l'entreprise.